N°123 – sommaire

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Lulu n°123 vient de sortir. Trois mois d’enquête, huit pages ironiques et rageuses, 2 €.

Un journal garanti cent pour cent local, durable depuis 1995, certifié sans trace de 2024.

Au sommaire :

Loger les pauvres, leur faire payer une misère

Un hôtel borgne pour des exilé·es à Indre. L’évéché qui paye une société pour loger des vigiles déguisés en locataires et éviter les squats de batiments vides lui apparenant. Idem dans des HLM de Nantes métrople habitat. Le mal logement devient un marché.

En contrepoint, à La Baule, Guérande, ou pour le projet Tour Bretagne, les rupins gèrent leurs paradis à l’écart.

– De Rugy pantoufle dans une banque d’affaires, expert en greenwashing.

– Les correspondants de presse font trembler Ouest-France.

Ex député, agresseur sexuel en famille, condamné, Pierre Heriaud passé sous silence par Ouest-France et Presse‑O. Mécanique d’une omerta.

agression à la grenade entre zadistes : la solidarité vole en éclats. Une enquête

– Au tribunal : un travailleur social poursuivi pour agression sexuelles conseille les femmes victimes de violences

– Colleuses féministes au tribunal : les policiers agresseurs se la jouent victimes. Et s’acharnent en faisant appel.

Huit pages, disponible en kiosque pour 2 €, en vrai papier, ou chez nos amis dépositaires : la liste des points de vente.

Et aussi par correspondance ici, en vrai papier, ou en pdf, même tarif, par là.

Un moment d’angoisse : et si les piscines non déclarées se faisaient repérer par le fisc aidé par Google ?

Un nuage de flou : l’écolabel nantais qui écorackette les évenements, version écodiscount, en les obligeant à écotrier leurs déchets et écoconsigner leurs gobelets.

Une pointe de discorde : le Medef 44 menacé de délabellisation par le Medef national.

Un doigt de chair à patron : la réforme des lycée pro de Loire Inférieure, entre rage et déprime des profs.

Une goutte de fleuve sauvage apprivoisé : le parlement de Loire mal traduit en un monologue soporifique.

Une ombre au tableau : un techno banc connecté qui prétend décaniculer une plateforme de béton sous le cagnard.

Une pluie de paillettes : Nantes université craque 300 000 € pour célébrer en un soir la troisième version d’un regroupement et changement de nom. Au même moment, la précarité ne change pas de dénomination.

Une pointe de doute quant aux 5000 chênes que la maire de Nantes a promis de planter.

Un coup de fusil aviné. On ne va quand même pas interdire l’alcool à la chasse, un flingue à la main, un canon de l’autre ?

Et tout en gribouillages et croquis croquignolets :

  • les caméras de surveillance au Pallet, en version bingo ;
  • une audience de classe au tribunal ;
  • une pseudo fête paysanne, faire-valoir des promoteurs…

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