Dette, réglementations et normes : les failles de l’Europe

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Pour que l’UE survive, elle va devoir modérer ses ambitions. La Fondation IFRAP soutient la construction d’une Europe plus modeste, mais qui ne serait pas moins efficace. Les bâtisseurs du vaisseau Europe l’ont conçu pour être léger, mobile, ouvert à la liberté économique et à la concurrence, et non pas pour devenir une machine à redistribuer, à centraliser et à produire à l’infini des normes.

Ce sujet des normes est devenu emblématique de la dérive de l’Union : utiles et bienvenues si elles favorisent la juste concurrence, elles sont aujourd’hui perçues comme punitives, bureaucratiques, et elles n’emportent plus l’adhésion. À vouloir tout faire, l’Europe s’est aussi considérablement endettée avec une dette du budget de l’UE qui passera de moins de 0,4 % du RNB européen fin 2019 à 5 % fin 2026.

« Mieux vaut moins mais mieux », nous rappelle la sagesse populaire. N’est-ce pas aujourd’hui ce qu’il faut faire pour rendre l’UE plus stable et plus durable ?


En 2019, la Fondation IFRAP consacrait une étude1 au nouveau cadre financier pluriannuel (CFP) que l’Union européenne (UE) s’apprêtait à ado

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