Pont trop n’en faut
Marche ou grève François-Régis n’y va pas par quatre hutins. Dès que pointe le mois de mai, le patron de Ouest-France pointe du doigt le mal français : la pontifite aigue. Une maladie qui n’a rien a voir avec le Pontife, mais qui ne supporte pas les ponts. Hutin cite ce qu’il lit*. Esope, tiens, le vieux Grec, qui distingue deux chemins, celui de la liberté et celui de la servitude, que Hutin traduit par «effort» et «facilité». Cette facilité mène au «déclin» de la France, rien de moins. Il cite Claude Imbert, du Point, qui trouve que le … … Lire la suite